Quelle ironie ! A l’heure d’un retournement capitaliste que personne ne nie plus, la Chine se retrouve aujourd’hui en tête dans un sondage plébiscitant l’économie de marché et le capitalisme, tandis que la France et les Etats-Unis semblent s’en méfier de plus en plus. Seulement tout n’est pas si simple : car si ce sondage montre bien à quel point le monde évolue, il montre aussi que même en considérant que le capitalisme n’est pas un bon système, la majorité de nos congénères ne semble pas prête à en changer, faute de mieux apparemment…
Ceci étant dit, je doute que les « occidentaux » laissent les « émergents » (qui ont pour le coup émergé) leur faire les poches sans réagir. Et c’est bien cela qui me fait dire qu’on ne sauvera sans doute pas le capitalisme : les intérêts sont trop importants et contradictoires pour permettre un accord susceptible de convenir à la fois aux émergents et aux anciens riches.
Et c’est justement en voulant sauver le capitalisme que nos bons gouvernants préparent, peut-être même sans le vouloir, la venue du Nouvel Ordre Mondial… Je m’explique :
alors qu’on pourrait croire que la crise ne concerne que les pays dits « développés », on constate qu’en réalité le sauvetage du capitalisme est également une nécessité pour les émergés qui désirent eux-aussi profiter des « bienfaits » du système. Et à moins que d’avoir autre chose de « mieux » à proposer (ce qui n’est actuellement pas le cas), il vaudrait mieux pour tous que soit trouvé un accord qui satisfasse toutes les parties… Sauf que le système capitaliste interdit « par essence » la satisfaction de tous les intérêts : les « anciens » riches ne veulent pas voir leur niveau de vie baisser, et les « anciens » pauvres veulent à tout prix voir le leur augmenter.
Du coup, il apparaît qu’à moins d’un accord qui ne peut arriver, les deux « blocs » sont confrontés à une situation insolvable : les liens entre eux sont si étroits, si obscurs et si solides qu’ils ont dépassé un point de « non-retour » qui les empêche à la fois d’avancer et de reculer. Ce qui explique la discrète (de moins en moins d’ailleurs) guerre des monnaies que se livrent actuellement les pays du monde entier. Incapables de s’entendre au sein des entités qu’ils constituent (le capitalisme c’est « chacun pour soi »), comment le pourraient-ils à l’échelle de tous les pays ?
Ce n’est sans doute pas qu’ils ne le désirent pas, mais tout simplement que le système l’interdit : la rationalité des acteurs économiques, la concurrence libre et non faussée, tout cela ne fonctionne qu’à partir du moment où les hommes suivent la théorie , ce qui n’est pas le cas, et qui fonde l’erreur primordiale de l’économie capitaliste . Les hommes ne sont pas rationnels et n’agissent donc pas selon les règles transparentes qui seules autorisent la confiance nécessaire à son bon fonctionnement. Comme si le capitalisme portait en lui le défaut de sa qualité : théoriquement sans doute acceptable, il ne peut dans la réalité que conduire à la corruption et à la guerre. Car une fois la corruption ayant engendré les catastrophes sociales comme celle que nous connaissons aujourd’hui, faire quelque chose comme ne rien faire c’est tout pareil. L’effondrement d’un seul peut rapidement conduire à l’effondrement général : si la Chine cesse d’acheter de la dette américaine les Américains cesseront d’acheter les produits Chinois, avec des répercussions en cascade sur tous les autres Etats du monde ; c’est cela la mondialisation.
En attendant ce chaos qui ne manquera pas d’arriver, nos chers gouvernants fourbissent leurs armes, et font comme les enfants qui font la course sans se le dire vraiment : on marche tranquille à côté du copain, et puis on l’observe du coin de l’oeil, l’air de ne pas y toucher… et puis l’un deux accélère insensiblement la cadence, suivi de près par le collègue qui en remet un coup, puis très vite on se met à courir à fond, sans plus penser à regarder où en est son adversaire… Alors qu’il suffirait de se mettre d’accord pour marcher jusqu’au bout ou même pourquoi pas partager la victoire, nul ne lâchera rien jusqu’à la course finale.
Que vient donc faire alors le Nouvel Ordre Mondial dans tout ça, me direz-vous ? Puisque vous semblez dire qu’il est incompatible avec le capitalisme pour cause de concurrence et que personne ne veut « lâcher le morceau », comment pourrait-il advenir ?
Et bien c’est justement là que se situe le paradoxe de la situation : tant que le capitalisme existe et que les concurrents s’affrontent pour le pouvoir que permet l’argent (et aussi l’argent que permet d’obtenir le pouvoir), le Nouvel Ordre Mondial ne peut exister. Mais comme c’est précisément cette concurrence (faussée donc par la corruption générale) qui sera à terme fatale au capitalisme, viendra inévitablement la réflexion sur ce qui suivra l’effondrement général- qu’il soit précédé, suivi ou non de conflits armés qui ne feront que déterminer la place du vainqueur : le « post-capitalisme ». Un nouveau capitalisme ne pourra pas surgir des cendres de l’ancien sans accord général préalable, « mondial ». Ce qui nous ramène à l’inéluctabilité de la réalisation d’un nouvel ordre mondial.
Mais que les plus sensibles se rassurent, car ce Nouvel Ordre Mondial peut revêtir une forme bien différente de celui qu’on nous agite généralement comme épouvantail : il y a certes l’option de la dictature à échelle mondiale, mais il y a aussi celle de la démocratie -à échelle mondiale également.
Bien sûr la première option est certainement la plus facile à concevoir compte-tenu de nos antécédents historiques ; sauf qu’aujourd’hui les nouvelles technologies permettent sans doute de faire passer notre science-fiction pour du romantisme. Une société fonctionnant sans argent mais par la contrainte, soutenue par une technologie de contrôle permanent généralisable à l’ensemble de la planète. Nos aînés l’ont rêvée tant de fois qu’elle nous est plus familière, mais elle ne doit pas occulter la deuxième option.
La démocratie mondiale, qui étonnamment dirais-je, semble beaucoup plus difficile à mettre en place. Elle n’a jamais été instaurée nulle part, car elle sous-entend l’absence de capitalisme avec lequel elle est incompatible (contrairement à la dictature, qui est disons « moins exigeante » sur les prestations à offrir pour conserver le pouvoir) : et c’est sans doute cela la plus grande leçon du 20ème siècle !
En définitive, le choix qui nous est fait n’est pas de sauver ou non le capitalisme mais de savoir quel monde nous voulons demain pour nos enfants. La « fenêtre temporelle » qui s’ouvrira après la chute du capitalisme nous autorisera à faire ce choix, pour peu que nous ayons quelque chose à opposer à la facilité d’un Nouvel Ordre Mondial autoritaire.
Caleb Irri
http://calebirri.unblog.fr
23 février 2013 à 15:49
Sommes-nous tellement sûrs qu’il existe un mot en « isme » autre que « capitalisme » pour englober tout ce qui concerne les rapports de force et de solidarité, et la proportion entre force et solidarité, à l’intérieur de chaque groupe humain, et entre les différents groupes humains ?
Est-il à ce point évident qu’un autre concept en « isme » pourrait à la faveur d’un grand chambardement modifier radicalement ces rapports de force et de solidarité ?
Toutes les expériences précédentes se sont soldées par un retour à un capitalisme favorisant une nouvelle oligarchie ou monarchie, qui se ré-arrogeait au nom du plus grand nombre ce que les oligarques ou monarques précédents s’étaient arrogés au détriment du plus grand nombre.
Le mix de socialisme, de démocratie et de capitalisme pourrait être l’évolution actuelle qui a jusqu’à présent, le mieux réussi, même s’il nécessitera quelques aménagements pour continuer-rester-durer !
Mais un trop grand bond en avant a toujours engendré (jusqu’à présent) un trop grand bond en arrière.
Les émergés ont trop d’acquis du social-capitalisme démocratique à préserver, même si ces acquis ont tendance à diminuer inexorablement, pour risquer de tout perdre en voulant gagner un peu plus.
Et les émergeants acquérant enfin, ce que le capitalisme avait longtemps réservé aux émergés, ne vont pas casser un système qui fonctionne enfin à leur avantage. Or il y a déjà plus d’émergeants que d’émergés : le capitalisme risque donc de continuer à évoluer dans un sens défavorable aux émergés et favorable aux émergeants.
Si cela se fait progressivement, sans recours à la révolution ou à la guerre, nous perdrons comme les Grecs au moins la moitié de notre pouvoir d’achat, et peut-être nous accrocherons-nous, comme les Grecs, à l’autre moitié, en rouspétant, mais sans recours à la révolution ou à la guerre ?
24 février 2013 à 9:43
Aussi longtemps que restera un soupçon de capitalisme, nous serons tous sous son joug intégral. C’est cette machine tout entière qu’il faut casser sans en rien laisser, quitte à supprimer les monnaies autres qu’éphémères et non- »officielles ». Car sur ces monnaies alternatives ne pourrait se greffer le pilier des mentalités anglo-saxonnes : le profit.
Contrairement à ce que nous rabâchent les médias (TINA, there is no alternative), il y a cette alternative-là, qui se conjugue logiquement à des cycles courts entre le besoin et la fabrication, à la fin de la publicité, et aussi par voie de conséquence à la fin d’achats inutiles d’objets volontairement vite périssables. Ce serait un autre monde. A la fois plus simple et plus convivial, impitoyable envers les profiteurs qui n’y auraient plus aucune place. En même temps, cela obligerait chacun à se prendre en main sans attendre passivement que d’autres lui disent quoi faire : cela, certains n’aimeraient pas.
24 février 2013 à 19:36
@babelouest
Il faudra bien en effet en passer par là. Cela dit, cela ne doit en aucun cas signifier un retour en arrière : débarrassé de la contrainte de rentabilité, c’est la fin de l’obsolescence programmée, en même temps que celle de la création artificielle de rareté. Rien n’empêche d’imaginer un meilleur niveau de confort ET la satisfaction des besoins de tous. Faudra creuser tout ça un de ces quatre, pour mettre en parallèle ce qu’il est possible de faire dans un monde capitaliste et ce qu’il serait possible de faire dans un monde sans argent. Les perspectives changeraient peut-être alors..
24 février 2013 à 19:19
@ Agequodagix
Ce « isme » existe : HUMANISME !
24 février 2013 à 10:28
A l’heure où de nombreux scandales sont enfin révélés au public, les oligarques de ce monde ne sont plus en mesure d’imposer quoi que ce soit à la population mondiale. Lorsque nous parlons de Nouvel Ordre Mondial, le mot résignation vient à l’esprit. Or, nous vivons une époque importante où toute information émanant de cette classe est automatiquement analysée/disséquée. J’appelerais cela l’Eveil des masses. En effet, nous sommes de plus en plus nombreux à effectuer des recherches concernant un fait afin d’entrevoir la vérité. Je ne peux que vous encourager à suivre votre Intuition, votre meilleure alliée, enfin de déjouer les rouages de ce monde que l’on veut nous imposer.
Pour ceux intéressés, voir le lien suivant sur mon forum d’informations (vérifiées et vérifiables):
http://ledormeur.forumgratuit.org/t626-le-nouvel-ordre-mondial-n-a-aucune-chance-de-voir-le-jour Le Nouvel Ordre Mondial n’a aucune chance de voir le jour
Bien Amicalement, Golden Awaken.
24 février 2013 à 19:47
@ Golden Awaken
Bonjour,
tout d’abord je voulais vous dire que j’avais modifié votre lien pour qu’il fonctionne, et que je n’ai pour le moment que survolé de loin ce forum que je ne connaissais pas. j’y retournerai.
Pour ce qui est de votre commentaire, il est vrai que de plus en plus de citoyens de ce monde n’acceptent plus si facilement la version officielle. C’est que la technologie nous le permet aussi. En faisant toutefois attention de ne pas basculer dans l’autre versant de la chose : et effectivement, à part les intuitions nul guide n’existe pour éviter les erreurs et les abus. Cela a au moins le mérite de nous en remettre à la bonne vieille méthode qu’est la confiance, un sentiment qui avait tendance à se perdre ses dernières années…
24 février 2013 à 18:52
Hélas, pendant que nous rêvons d’un Grand Soir et d’un Grand Chambardement, des populations entières rêvent soit d’être riches comme les autres riches, soit de voir leur pouvoir d’achat augmenter de quelques pourcent chaque année, comme dans les pays émergents, et à l’inverse des pays émergés où ce pouvoir d’achat a parfois tendance à baisser.
Parmi les gouvernés, la majorité reconduit inlassablement les gouvernants qui leur promettent quelques pourcents de plus, et peu votent pour un monde nouveau.
Qui faut-il alors convaincre d’opter pour un monde nouveau ? Ou de faire la révolution ? Les gouvernés ou les gouvernants ? Avec quelle chance de succès ?
Le XVIIIème siècle fut le siècle de la révolution française, le XIXème, celui de la révolution industrielle, le XXème, celui de la révolution russe et chinoise, le XXIème siècle serait celui de la révolution arabe…
Reste-t-il une petite place pour la révolution universelle ?
24 février 2013 à 19:52
@ Agequodagix
Vous êtes difficile à convaincre !
Pour commencer, il faudrait pouvoir vous convaincre vous-même qu’un monde nouveau est possible. et lorsque le nombre d’individus convaincus aura atteint un seuil critique, alors ce monde ne sera plus qu’une formalité à réaliser. Mais cela peut prendre du temps, beaucoup de temps. Mais comme je le disais ailleurs, nous ne travaillons pas pour nous mais pour nos descendants…
24 février 2013 à 19:58
Je ne crois pas à ta thèse car le capitalisme ce sera le déluge, le capitalisme ne peut pas fonctionner sans voler de l’énergie ou des ressources, tant qu’il y aura des ressources gratuites à piller donc des profits le capitalisme se renouvellera sous sa forme ou une autre forme presque semblable qui consiste à une minorité de monopoliser et de profiter des ressources (mercantilisme, libéralisme, impérialisme, féodalisme…).
Il n’y aura donc pas de nouvelle ordre mondial car après le capitalisme il n’y aura plus rien, l’énergie étant la clef de toutes choses bientôt fautes d’énergie bon marché tout s’écroulera.
24 février 2013 à 22:06
D ‘ une certaine manière l ‘ Islande , à niveau international , a fait sécession – D ‘ une certaine façon , les pays Bolivariens et y-associés d ‘ Amérique du Sud l ‘ ont fait aussi –
Pourquoi ne pas envisager des sécessions internes , économiques , dans les pays –
Si les capitalistes ne survivraient pas à une désertion des populations prolétaires , ou en tous cas non-capitalistes , nos chères « classes-moyennes » n ‘ y survivraient pas plus –
Alors …….
25 février 2013 à 12:24
Pourquoi ne pas travailler aux sécessions internes? Cela permettra de tester les nouvelles formules et permettra peut-être un basculement plus rapide que si nous attendons qu’un nombre de gens convaincus atteigne un seuil critique. Atteindre ce seuil critique peut effectivement prendre plus d’une génération.
25 février 2013 à 12:36
oui , c ‘ est ce que je voulais dire –
il y a des humains avec qui on ne peut pas composer – quel que soit le pays – alors tôt ou tard il faudra bien faire sécession – et ce , m^me si nous sommes minoritaires -
pas la peine d ‘ attendre la saint glin-glin ou je ne sais quel grand-soir aux calendes grecques ( LoL ) -
Courage , on y arrivera !
26 février 2013 à 23:38
@ Agequodagix et @ monde indien
C’est bien à ce niveau que se situe ma promotion d’une Assemblée Constituante. Mais l’idéal pour moi serait de réfléchir en parallèle aux solutions « non-capitalistes », et là pour le moment c’est sinon le vide absolu, au moins le bordel le plus complet : aucune théorisation d’un monde « non-capitaliste » (sans argent donc) n’est aujourd’hui susceptible de satisfaire à la complexité du monde actuel.
27 février 2013 à 10:20
Bonjour Caleb.
Justement, ce monde a été artificiellement complexifié par les financiers qui y avaient intérêt. La mondialisation de l’économie a toujours existé depuis que des gens se déplacent en bateaux importants, soit tout de même depuis plus de deux mille ans (avant n’existaient que les voies de terre). En revanche, aujourd’hui des produits, disons des crevettes, sont pêchées près du Kamtchatka, sont décortiquées en Indonésie, conditionnées au Danemark, et vendues dans les hypermarchés comme si elles étaient européennes. Quant aux circuits financiers correspondants, leur complexité est incroyable.
C’est cette complexité qu’il faut combattre, afin que les productions à la fois se régionalisent et deviennent non le support de spéculations et de passe-passe fiscaux, mais la réponse à une vraie demande légitime. A mon avis, légiférer au niveau mondial là-dessus est possible. Bien entendu de puissants lobbies feront tout pour que la poule aux œufs d’or de leurs employeurs ne soit pas molestée. Cependant, c’est dans cette voie sans doute qu’il faut d’abord se diriger. Cela exige également de mettre au pas les banques, ce que ne font absolument pas les dirigeants européens, et singulièrement français.
3 mars 2013 à 0:07
@ babelouest
Mais comment mettre au pas les banques puisque ce sont justement elles qui dictent les lois ?
27 février 2013 à 22:12
Oui, c ‘ est un peu le vide , le bordel , il faut juste commencer – Pour autant ce n ‘ est pas théorisation , juste volonté , projet , désirs – d ‘ aucuns appellent çà utopie ( quelle erreur ! ) -
Alors commençons !!
Il nous faut refonder les bases des droits universels des femmes , des hommes , des enfants , des vieillards , et de nos congénères animaux et végétaux -
Personnellement , je pose que chacun , chacune , humain/e , animal , végétal , a le destin de se réaliser en total bonheur et osmose avec l » exister » -
Je pose que chacun ne peut se réaliser sans que l ‘ univers ambiant ne se réalise aussi car nous sommes inter-dépendants –
Enfin je pose qu ‘ aucun travail n ‘ a + de valeur qu ‘ un autre , que ceux qui font quelque chose de + sophistiqué que d ‘ autres n ‘ ont eu que + de chance , mais que leur valeur humaine ne vaut pas plus -
S ‘ il nous faut dire LES VALEURS qui sont les nôtres , rien ne n ‘ est opposé à ce que nous mettions en route les transitions et la chute des systèmes actuels qui sont opposés au nôtre –
( please , dited ce que vous pensez de mon ptit site illuminé : http://mondeindien.jimdo.com/ )
28 février 2013 à 6:00
Joli, ton site, Monde Indien ! Un site de paix, de bonheur partagé.
28 février 2013 à 9:26
Pour en arriver là, il va falloir repartir en arrière et tout reconstruire (conceptuellement s’entend)à partir de fondements indiscutables. Rien ne coûte d’essayer.
Je crains cependant qu’il ne faille remonter jusqu’au big bang et passer par un trou noir pour pouvoir le concevoir sur des bases logiquement démontrables.
3 mars 2013 à 0:18
@ Esope
pourquoi revenir en arrière ? Un monde nouveau peut très bien se satisfaire des progrès accomplis jusqu’à aujourd’hui mais en fonctionnant sur d’autres valeurs.
28 février 2013 à 18:07
merci pour les encouragements – j ‘ espère surtout bientôt sur un autre blogue où vous aurez tous cette votre parole que j ‘ aime –
Et puis , pas besoin de remonter au big-bang ni au tyranosaurus-rex pour parler enfin de notre quotidien , celui que nous désirons -